Une de ses dernières apparitions
Le travail est l'opium du peuple et je ne veux pas mourir
drogué ! Boris VIAN
Le
travail est probablement ce qu'il y a sur cette terre de plus bas et de plus ignoble. Il n'est pas possible de regarder un travailleur sans maudire ce qui a fait que cet homme travaille, alors
qu'il pourrait nager, dormir dans l'herbe ou simplement lire ou faire l'amour avec sa femme.
Boris VIAN
http://turandot.over-blog.net/tag/LIENS%20AMIS%20DANS%20LE%20DESORDRE/
Le billet ci-dessous a été spécialement écrit pour la série Votre porte-monnaie au rayon X publiée par Rue89. D’où sa forme sans doute un peu inhabituelle pour les passants de ce blog.
Le jour de marché, il vient par autocar jusqu’à notre petite ville touristique du bord de mer et s’installe sur son tabouret pliant, en face de la boulangerie, quel que soit le temps, avec son écriteau de sans domicile fixe (SDF) pour émouvoir le chaland. D’emblée, il prévient : « Pas de nom, pas de photos. Je ne veux pas qu’on me voit comme ça. » À défaut, appelons-le “mon meilleur copain”. J’ai passé son porte-monnaie au rayon X.
http://yetiblog.org/index.php?post/515_EUROSPar Petaramesh
le lundi 6 avril 2009, 20:36
Je traînais ce jourd'hui à midi mon caddie entre les rayons de cocagne de l'Auchiant du coin, pas seulement pour faire plaisir à la belle Ko en lui offrant le loisir de narquoiser gentiment sur ma piètre décroissance, mais également parce que j'ai ces derniers temps une vie un peu compliquée de père à mi-temps célibataire à mi-temps travailleur à plein temps dormeur à temps très très partiel qui me laisse peu le loisir de flâner la marguerite au lèvres en fin de matinée entre les étals bigarrés du marché bio du p'tit village de pas ici, et puis quand même à l'Auchiant ils ont aussi la bonne bière qui me faisait défaut et dont certaine Rousse m'a communiqué le coupable penchant, et doncques durant l'heure réglementaire de ma pause méridienne j'y cavalais ventre à terre au cul de mon Caddie en attendant la récompense d'un panini bien dégueu avalé sur le pouce à l'échoppe voisine.
http://petaramesh.org/post/2009/04/06/Ouvert-dimanche-et-fetesSource / auteur : http://ugtg.org/
samedi 4 avril 2009, par Ludo
Intervention au meeting du jeudi 2 avril 2009
Bonswa pèp Gwadloup,
Nous sommes bien contents de nous retrouver, et surtout nous sommes bien contents que l'Etat et les patrons nous donnent l'occasion de nous retrouver. Car si nous sommes ici ce soir, c'est aussi parce que il y a aujourd'hui entre 44 et 45 grèves en Guadeloupe . Nou pa konpwann - on ?! Nous revenons de 44 jours de mobilisations, la grève générale a été suspendue... et il y a 44 ou 45 entreprises en grève ; et il y a des grèves qui éclatent chaque jour !
Et c'est dans un tel contexte qu'ils ont dit et annoncé la semaine dernière qu'ils allaient faire des Etats-Généraux [1] ! Et dès lors pas mal d'individus ont fait leur apparition, pas mal de gens qui n'ont jamais honte. Car à chaque fois que l'Etat français dit " A table !", eh ben il y a beaucoup qui courent s'assoir.
Ils ignorent ce qu'il y a au menu, ils ne savent pas qui a cuit le repas, ils ignorent le nom des invités et des convives... mais ils sont là, assis à table !
http://www.hns-info.net/spip.php?article18110mercredi 11 février 2009, par espoirchiapas
Le Président Evo Morales a dit qu'il gouverne la Bolivie "en obéissant au peuple", en recueillant les messages et l'enseignement du sous Commandant Marcos, le leader de l'EZLN (Armée Zapatiste de libération Nationale -Chiapas-).
"J'accomplis un mandat du peuple, pour cela j'ai appris par le Sous Commandant Marcos qui a dit "Diriger en obéissant au peuple" a affirmé le dirigeant de la Bolivie.
(Merci à Touchatout pour le titre !)
Ambiance des grands jours au tribunal de Metz ! La presse ne s'y était d'ailleurs pas trompée, qui était venue en masse (une journaliste et un photographe du Républicain Lorrain, un
journaliste de France Bleue, un journaliste et un caméraman de France 3, et même l'envoyé spécial du Blog de SuperNo !) pour tenter de restituer le suspense haletant dont l'épaisseur
obscurcissait le hall d'accueil.