dimanche 28 novembre 2010 -
Bientôt 65 ans que la culture française se cherchait un digne héritier au grand Josef Pujol, parvenu à un tel degré de maîtrise de son anatomie méridionale qu’il pouvait jouer Au clair de la lune à la demande.
Le travail est l'opium du peuple et je ne veux pas mourir
drogué ! Boris VIAN
Le
travail est probablement ce qu'il y a sur cette terre de plus bas et de plus ignoble. Il n'est pas possible de regarder un travailleur sans maudire ce qui a fait que cet homme travaille, alors
qu'il pourrait nager, dormir dans l'herbe ou simplement lire ou faire l'amour avec sa femme.
Boris VIAN
http://turandot.over-blog.net/tag/LIENS%20AMIS%20DANS%20LE%20DESORDRE/
dimanche 28 novembre 2010 -
Bientôt 65 ans que la culture française se cherchait un digne héritier au grand Josef Pujol, parvenu à un tel degré de maîtrise de son anatomie méridionale qu’il pouvait jouer Au clair de la lune à la demande.
Pris la main dans le sac par Mediapart, il les accable de procès
samedi 9 mai 2009, par Olivier Bonnet
Le président élu Barack Obama a annoncé mercredi la nomination de l'ancien président de la Réserve fédérale (Fed) Paul Volcker à la tête du comité de Conseil économique de la Maison-Blanche pour superviser la politique de stabilisation des marchés financiers du nouveau gouvernement. Le choix de Volcker, âgé de 81 ans, place aux côtés du nouveau président un ennemi invétéré de la classe ouvrière et démontre le caractère de classe du gouvernement droitier qu'Obama est en train de former.
Au cours de la semaine, Obama a sélectionné l'ensemble de son équipe : Timothy Geithner, l'actuel président de la Réserve fédérale de New York qui deviendra secrétaire au Trésor ; Lawrence Summers, l'ancien ministre des Finances de Clinton, qui prendra la tête du Conseil économique national, le chef du groupe à la Maison-Blanche pour la coordination de la politique économique ; et Peter Orszag qui deviendra le directeur du Bureau de la Gestion et du Budget. Summers, Geithner et Orszag sont tous des protégés de Robert Rubin, l'ancien secrétaire au Trésor de Clinton, ancien PDG de Goldman Sachs et actuellement le directeur et vice-président de Citigroup
"Il fallait bien trouver une solution. Laisser se creuser les déficits, hypothéquer l'avenir de nos enfants, ça n'était plus
acceptable. Il fallait sauver les retraites. Et tant pis si cela bouscule quelques petits corporatismes". Ainsi réagissait Xavier Bertand devant le tollé
provoqué par l'amendement avançant l'âge de la mort à 70 ans. Le président de la République lui-même est monté au créneau pour défendre la réforme de son ministre : "Il s'agissait de faire
preuve d'audace et d'imagination. Autant de valeurs que la gauche a perdu depuis longtemps.(...)C'est quand même formidable. Il va bien falloir réformer ce pays. Que la gauche me dise comment
faire pour sauver les retraites et la sécurité sociale auxquelles les français sont très attachés. Augmenter les cotisations? Pour plomber encore plus la compétitivité de nos entreprises? Restons
sérieux, la solution proposée par le gouvernement est la plus raisonnable."
Peuple de la Toile, bonsoir !
Par CulturePo
Non, je ne vais pas parler de la culture de Nicolas Sarkozy (sur ce sujet, voir ce billet !). Derrière ce titre certes un tantinet ambigu, je me propose de vous entretenir, chers lecteurs, de tout autre chose.