« Si le virus A H1N1 mute... »
ou l’escroquerie
à l’échelle planétaire
par Marc Zaffran (Martin Winckler)
Article du 12 septembre 2009
Alors même que les évidences épidémiologiques de bénignité de la grippe A H1N1 s’accumulent, l’argument numéro 1 invoqué par les tenants de la vaccination de masse est « la possibilité d’une mutation du virus ». Or, cette éventualité n’est pas seulement scientifiquement improbable, elle est aussi le principal argument qui disqualifie la vaccination : contre un virus mutant, un vaccin ne sert à rien. Démontage d’une escroquerie planétaire.
http://martinwinckler.com/article.php3?id_article=973