Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : THE SUN SHINES,THE SKY IS BLUE
  • : Blog de liens divers . Quelques commentaires de temps en temps .
  • Contact

  • turandot

L'eau est à tous

550239 440438599350624 1748426065 n

Recherche

Je soutiens

29maieu-80-15v2.pngnddl-non.png

Archives

SAEZ

LIENS AMIS

http://turandot.over-blog.net/tag/LIENS%20AMIS%20DANS%20LE%20DESORDRE/

20 janvier 2010 3 20 /01 /janvier /2010 23:31

Mme Aubry s'imagine qu'en se ralliant (faites-le donc franchement , une bonne fois pour toutes ! ) à l'UMP , les électeurs vont se déplacer  (pour l'UMPS...elle rêve , je suppose ...

Aubry estime avoir
les «capacités» de présider

18/01/2010 |
Martine Aubry dimanche au « Grand Jury » RTL-LCI-Le Figaro.

Invitée du « Grand Jury » RTL-LCI-Le Figaro, la première secrétaire du PS est prête à repousser l'âge de départ à la retraite.

Auréolée de son nouveau statut de meilleure opposante à Nicolas Sarkozy, renforcée par de récents sondages prédisant une large victoire des socialistes aux prochaines élections régionales, Martine Aubry a tenté de pousser son avantage dimanche lors du « Grand Jury » RTL-LCI-Le Figaro. Sur le dossier emblématique des retraites, elle a reconnu qu'il fallait envisager de repousser l'âge de départ en retraite. « On va aller vers 61, 62 ans. Mais je n'imagine pas qu'on aille plus loin », a-t-elle affirmé en se disant prête à travailler avec le gouvernement sur cette réforme : «Nous apporterons notre contribution.»

La première secrétaire du PS n'a pas renié la comparaison avec la chancelière allemande Angela Merkel : «Même si nous ne partageons pas les mêmes idées, c'est une femme qui donne une image de sérieux et de confiance.»

De quoi lui donner des idées pour la présidence de la République ? «J'en ai les capacités, comme d'autres», a dit Martine Aubry. Depuis son élection à la tête du PS, elle figure mécaniquement sur la longue liste des présidentiables du PS mais «ça m'est égal», a-t-elle assuré. D'ici à 2012, le chemin de l'Élysée est semé d'embûches. D'abord, les élections régionales de mars. Même si le PS les aborde en bien meilleure forme que les européennes de juin 2009, il lui reste plusieurs problèmes à régler. À commencer par la concurrence des Verts qui s'en prennent régulièrement à lui. «Il vaudrait mieux se concentrer sur l'essentiel : attaquer la droite», a demandé Martine Aubry en refusant de répondre aux récentes critiques de Daniel Cohn-Bendit : «Je ne remettrais pas un sou dans la machine.»

 

SUITE...

 

http://www.lefigaro.fr/politique/2010/01/18/01002-20100118ARTFIG00021-aubry-estime-avoir-les-capacites-de-presider-la-france-.php

 

 

@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

 

  Retraites : 2010,
 une année décisive
lundi 18 janvier 2010
 par Jean-Jacques Chavigné

  En 40 ans la richesse de notre pays doublera. C’est le point aveugle de tout débat sur les retraites. Jamais cet aspect déterminant de l’avenir économique n’a pu être publiquement débattu.

Des années décisives, notre système de retraites en a déjà connu depuis 1993 : 1995, 2000 (pour les retraites complémentaires du secteur privé), 2003… Mais 2010 sera de nouveau une année décisive parce que le gouvernement et le Medef ne sont pas encore arrivés à leurs fins et qu’ils comptent bien utiliser le déficit record laissé par la crise (produit direct de leurs politiques néolibérales) pour aller encore plus loin dans leur contre-réforme de notre système de retraite.

17 ans de contre-réformes

L’offensive de la droite et du patronat a commencé en 1993, en plein mois d’août lorsqu’Edouard Balladur et Simone Veil firent voter leur loi contre le système de retraite par répartition du secteur privé. La durée de cotisation passait de 37,5 à 40 annuités. Le calcul du salaire de référence servant au calcul de la retraite s’allongeait des 10 aux 25 meilleures années. Le montant des retraites n’était plus indexé sur les salaires mais sur les prix.

En 1994 et 1996, le patronat faisait subir aux retraites complémentaires du secteur privé une régression de même ampleur que celle qui avait été imposée aux retraites de base par la loi Balladur-Veil.

Au total, les réformes de 1993 et 1994-1996, entraineront mécaniquement une diminution de 20 points (de 78 % à 58 % du salaire moyen net) de la retraite moyenne des salariés du secteur privé, entre 1996 et 2030. Tous les effets de ces contre-réformes ne se sont donc pas encore fait sentir, loin de là.

En 1995, Juppé commit (du point de vue de la droite) une lourde erreur. Il s’attaqua à la fois aux retraites de la Fonction publique et à celles des services spéciaux (SNCF, RATP, EDF-GDF…) Il dut ravaler ses 40 annuités. En 2003, Fillon ne commit pas la même erreur, il s’attaqua uniquement aux salariés de la Fonction publique et jura, la main sur le cœur, que les salariés relevant des régimes spéciaux n’étaient pas concernés par l’allongement de la durée de cotisation. Malgré des millions de manifestants, une unité syndicale où l’absence finale de la CFDT n’eut aucune répercussion sur la mobilisation et près de six mois de luttes, le mouvement social fut battu et se vit imposer les 40 annuités de cotisation pour qu’un salarié puisse bénéficier d’une retraite de base à taux plein.

En 2007, le gouvernement remettait cela et imposait (malgré des concessions très substantielles et de plus en plus perceptibles) les 40 annuités aux salariés des régimes spéciaux.

Aujourd’hui, c’est tout le salariat que la droite a en face d’elle
SUITE...

http://www.democratie-socialisme.org/spip.php?article2052

@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@


Dans Siné Hebdo n° 42

Seniors au boulot,
 juniors au chômdu ?
mercredi 15 juillet 2009

par Gérard Filoche 


Elle est là devant moi dans mon petit bureau de l’inspection du travail.… A 55 ans, elle ne supporte plus d’être maltraitée par sa grande entreprise d’assurance où elle est salariée depuis 28 ans. Ils lui fixent des objectifs de plus en plus inatteignables : placer des « retraites complémentaires » et des « assurances maladies complémentaires ».

Ses équipes travaillent, par mailing et par phoning, plus de 10 heures par jour pour démarcher les pigeons potentiels. Mais, forcément, comme elle dit : « les gens n’ont pas d’argent ». Comment peut-on s’assurer contre ce que la Sécu ne couvre plus ou suppléer à ce que le système de retraite cassé par Fillon ne garantit plus ? Le « privé » fait le maximum pour occuper le terrain de la protection sociale publique affaiblie, mais encore faut-il qu’il y ait des sous…

SUITE...

http://www.democratie-socialisme.org/spip.php?article1935


@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

Vive la retraite à 60 ans

à taux plein et

les 35 h hebdomadaires

Posté dans Politique

par Gérard Filoche

e 19 janvier 2010


 Vive la durée légale à 35 hebdomadaires !
Les 35 h sont une bonne chose pour 100 % des salariés. Elles s’appliquent à 100 % des salariés, car c’est une durée légale d’ordre public social.
Le Medef veut mettre fin à ce que les durées du travail soient d’ordre public social et les remplacer par des durées à la carte, incontrôlables, genre durée hebdomadaire à la carte, ou retraite à la carte.
Lorsqu’il y a des problèmes avec les 35 h, c’est que la durée légale n’est pas respectée, que les heures supplémentaires ne sont pas comptabilisées, majorées, payées, c’est qu’il y a vol et dol au détriment des salaires, de la santé, de l’emploi.
SUITE...
http://www.filoche.net/2010/01/19/vive-la-retraite-a-60-ans-a-taux-plein-et-les-35-h-hebdomadaires/
Partager cet article
Repost0

commentaires