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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 22:31
    Oct/19/2009 14:29
De la déforestation
 à Dominique Voynet
 en passant par
 les poussins broyés

Par SuperNo


Je suis en train de lire le passionnant livre de Fabrice Nicolino, (“Bidoche”) dont j’ai déjà parlé ici. Et j’y reviendrai plus longuement quand je l’aurai terminé. Mais d’ores et déjà, en connectant des informations de ce livre avec d’autres que j’avais déjà, on peut faire des liens fascinants.

Je suppose que bon nombre d’entre vous sont déjà allés “manger” chez McDo avec leurs enfants. C’est assurément une expérience instructive.

McDo, ce sont d’abord des employés. Précaires, mal payés pour faire un boulot de merde. Ce que Naomi Klein théorise dans “No Logo” sous le nom de “McJobs”. Il s’agit d’inoculer dans de jeunes cerveaux en formation l’idée qu’un “travail” puisse ressembler à ça. Et surtout pas à ce qui était jadis en vigueur : gratifiant, stable, et permettant de nourrir et loger sa famille. La mission est largement accomplie, d’ailleurs, plus personne ne semble s’insurger du fait qu’un étudiant doive absolument travailler en plus de ses études, ou que le “marché” (qui porte de mieux en mieux son nom) du travail soit devenu une jungle.

Chez McDo, chacun sait que l’on s’empiffre de saloperies grasses et sucrées, ce qui favorise l’explosion de l’obésité, du diabète, des maladies cardiovasculaires. Inutile de revenir là-dessus, malgré les tentatives des communicants pour faire croire le contraire.

SUITE...
http://www.superno.com/blog/2009/10/de-la-deforestation-a-dominique-voynet-en-passant-par-les-poussins-broyes/
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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 12:57
octobre 16, 2009 at 2:33



A l’ère du néolibéralisme
 la liquidation
des Biens Publics
 en France



En France la liquidation des biens publics se poursuit depuis une trentaine d’années dans la ligne de la mondialisation capitaliste et de la globalisation financière.

La liquidation est mondiale : privatisations massives imposées aux pays du Tiers-Monde par le F.M.I, mainmise sur les anciens pays de l’Est, bradage des biens publics en France.

L’EXEMPLE Français :

De 1933 à 1982 : période de constitution du Bien Public en – - France

– 1933 : Air France ;

-         1937 : SNCF ;

-         1944-45 : Charbonnages de France ;

-         1945 : Renault, Banque de France, BNCI, CNEP, Crédit Lyonnais, Société Générale ;

-         1946 : assurances, création d’EDF-GDF, AFP, Compagnie Générale Transatlantique

-         Fin 1980, le secteur public productif comprend les 32 groupes :

  • Industrie : Aquitaine chimie, Bureau de recherches géologiques et minières, Charbonnages de France, Commissariat à l’énergie atomique, Compagnie française des pétroles, EDF, GDF,
  • Entreprise minière et chimique, Entreprise recherche activité pétrolière, Institut de développement industriel, Renault, Société nationale d’étude et de construction de moteurs d’aviation, Société nationale industrielle aérospatiale, Société nationale des poudres et explosifs,
  • Transports, communications : Agence Havas, Air France, Compagnie française des câbles sous-marins et de radio, Compagnie générale maritime et financière, RATP, SNCF, Société nationale des entreprise de presse, Société nouvelle de radiodiffusion, Télédiffusion de France,
  • Banques et assurances : Banque nationale de Paris, Caisse des dépôts et consignations, Caisse nationale des marchés de l’Etat, Centrale assurances générales de France, Crédit Lyonnais, Société centrale du GAN, Société centrale-Union des assurances de Paris, Société financière pour le développement des équipements collectifs, Société générale.

En 1981-1982 : les effectifs des groupes du secteur public, hors Seita et PTT, représentent 1 763 000 salariés (contre 1 088 000 en 1980) soit 16% des salariés et 40% des immobilisations des sociétés soumises à l’imposition sur les Bénéfices Industriels et Commerciaux.

SUITE...

http://dutron.wordpress.com/2009/10/16/a-l%E2%80%99ere-du-neoliberalisme-la-liquidation-des-biens-publics-en-france/

VIDEO DE ET AVEC SEB MUSSET  (en voir d'autres  toutes très intéressantes ,là :
http://www.dailymotion.com/sebmusset



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4 octobre 2009 7 04 /10 /octobre /2009 00:38

3 Oct 2009
Bien profond
Par SuperNo

La politique n’est pas un conte de fées. Les gentils ne gagnent pas à la fin.

Les juristes suffisants, les pourris, les tricheurs, les faussaires, les vendus, les hypocrites, les cupides, les cyniques, ont gagné. Tout comme les ouiouistes naïfs, qui ont cru au boniments des précédents, et qui se feront broyer comme les autres.

SUITE...

http://www.superno.com/blog/2009/10/bien-profond/comment-page-1/#comment-11080






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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 17:56
4 septembre 2009

APRES LA CONFERENCE

DE PRESSE DE M. BESSON

Les déclarations d’Eric Besson lors de sa conférence de presse du 3 septembre appellent quelques commentaires.

Il assure que « les parents [emprisonnés en CRA] sont libres de choisir d’amener ou pas leur enfants dans un centre de rétention ou de les confier à l’extérieur » et qu’il « ne suffit pas que l'on entre en France, que l'on inscrive son enfant à l'école pour qu'il y ait protection (ndlr: régularisation) des parents ». Arrogance, vulgarité, démagogie, M. Besson a vite appris de ses nouveaux amis. On dirait du Frédéric Lefèbvre !

SUITE...

http://www.educationsansfrontieres.org/article22150.html
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9 août 2009 7 09 /08 /août /2009 21:14
Publié le 5 août 2009

Par  Fabrice Nicolino


 On va finir par croire que je n’aime pas Michel Rocard, et c’est tout à fait vrai : je ne l’aime pas. Et pourtant ! N’a-t-il pas cet œil de lynx qui le distingue de tous les aveugles de la place ? Mais si. Témoin cet entretien accordé au Nouvel Observateur en décembre 2007 (ici). Attention les yeux, fussent-ils eux aussi de lynx, car cela fuse.

Que dit Rocard dans ce texte qui lui permet, aujourd’hui, de prétendre qu’il fut l’un des rares vaillants à prévoir la crise économique ? Eh bien, en résumé imparfait, que cela ne peut durer, car trop, c’est trop. Que le capital se goinfre, que la dette américaine n’est plus remboursable, que la financiarisation de l’économie mène au gouffre. Je cite le plus présentable : « Nous sommes dans une situation étrange : les signes avant-coureurs d’une crise mettant en cause l’équilibre général de l’économie s’amoncellent et pourtant les “opérateurs” restent silencieux ».

 

SUITE...

 

 

http://fabrice-nicolino.com/index.php/?p=618

 

 

 

 

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28 juillet 2009 2 28 /07 /juillet /2009 09:54

http://bellaciao.org/fr/spip.php?article89452





Loi sur les fonctionnaires :
 la "gauche" n'a pas saisi
le Conseil Constitutionnel

lundi 27 juillet 2009 (18h58)

Le 27 juillet à 17h, comme déjà à 15h, les services du Conseil Constitutionnel nous confirment qu'aucun recours n'a été déposé contre la loi de licenciement massif des fonctionnaires appelée par le Parlement « relative à la mobilité et aux parcours professionnels dans la fonction publique ». Cette loi a été adoptée jeudi dernier et devrait être promulguée incessamment après le Conseil des Ministres de cette semaine qui précédera les vacances d'été de la « classe politique ». Il ne semble pas qu'un recours auprès du Conseil Constitutionnel soit prévu, ni même à l'étude, d'après les quelques informations que nous avons pu obtenir des groupes parlementaires. Pourtant, les effets de cette loi seront dévastateurs pour l'ensemble des services publics (le démantèlement du CNRS, Centre National de la Recherche Scientifique, n'étant qu'un exemple) et les moyens d'inconstitutionnalité ne nous semblent pas manquer.

Il paraît évident que la loi sur la « mobilité » des fonctionnaires est destinée à accompagner la dislocation des services publics, dont la situation du CNRS n'est qu'une illustration parmi bien d'autres.

Mais dans ce cas, comment comprendre la passivité des directions syndicales et des coupoles politiques devant une opération de cette envergure ? Pas seulement par rapport au CNRS, mais de manière bien plus globale pour l'ensemble des services publics.

 
Les parlementaires de « gauche » se plaigent souvent de la pratique des gouvernements des années récentes consistant à émettre systématiquement et sans raison valable des déclarations d'urgence pour les projets de loi, de façon à court-circuiter la procédure parlementaire normale.

Ils avaient là une occasion dorée de dénoncer cette pratique, la loi sur les fonctionnaires ayant « dormi » pendant un an (entre juin 2008 et juin 2009) malgré une déclaration d'urgence. En effet, une telle situation devrait permettre de plaider le défaut de sincérité de la déclaration d'urgence, avec pour preuve accablante l'attente manifeste du résultat des dernières élections européennes. Il serait alors possible de conclure à la nullité globale de la procédure.

Apparemment, tel ne sera pas le cas : d'après les informations reçues aujourd'hui des groupes parlementaires, les députés dits « de l'opposition » n'envisagent pas de saisir le Conseil Constitutionnel contre la loi sur les fonctionnaires. Les services du Conseil Constitutionnel nous confirment qu'une telle saisine n'a pas eu lieu.

 
Quant au contenu de la loi, il aurait pour le moins été possible de saisir le Conseil Constitutionnel de plusieurs questions d'un intérêt citoyen évident. Notamment :

Cet affaiblissement du statut des fonctionnaires, est-il compatible avec l'indépendance de l'Etat, des services publics et des administrations par rapport à des intérêts privés, comme la Constitution est supposée le garantir ?

Un état, des administrations et des organismes publics ainsi affaiblis peuvent-ils protéger convenablement les droits de l'homme et les libertés fondamentales pour l'ensemble des citoyens ?

Les engagement contenus dans des documents tels que la Charte sociale européenne pourront-ils être tenus si les fonctionnaires ont perdu toute indépendance ?

La « gauche parlementaire » a reconnu publiquement que cette loi permet aux responsables des administrations de limoger sans véritable procédure les fonctionnaires qui « dérangent ». Mais si tel est le cas, que peut-il rester d'une garantie effective des droits des citoyens et de la transparence des administrations ?

 
Etrangement, la « gauche » refuse de saisir le Conseil Constitutionnel de ces questions pourtant essentielles. Pour quelle raison ?

Il est vrai que, toutes étiquettes politiques confondues, la plupart des parlementaires sont, via les différents cumuls de fonctions ou de carrière, des responsables ou anciens responsables d'administrations (à commencer par les mairies et autres instances locales). Jusqu'à des ministres, des anciens et futurs directeurs à haut niveau, des « ministrables »...

Notre collectif s'est adressé directement à Nicolas Sarkozy et François Fillon pour demander que la loi « relative à la mobilité et aux parcours professionnels dans la fonction publique » ne soit pas promulguée. Voir le deuxième article du 25 juillet sur notre blog. Tout fonctionnaire, tout citoyen, toute section syndicale... peut, au moins, entreprendre une telle démarche.


Indépendance des Chercheurs

http://www.geocities.com/indep_chercheurs

http://science21.blogs.courrierinternational.com

Groupes de discussion :

http://groups.yahoo.com/group/problemes_des_scientifiques

http://groups.yahoo.com/group/combatconnaissance


Suit notre article de ce jour sur le blog La Science au XXI Siècle.


http://science21.blogs.courrierinternational.com/archive/2009/07/27/fonctionnaires-loi-conseil-constitutionnel-pas-de-saisine.html

 
Fonctionnaires, loi, Conseil Constitutionnel : pas de saisine ?


Le lundi 27 juillet en début d'après-midi, une brève enquête auprès des services concernés ne nous a pas permis de découvrir une quelconque saisine du Conseil Constitutionnel contre la loi dite « relative à la mobilité et aux parcours professionnels dans la fonction publique » adoptée jeudi dernier. Même pas un projet de recours, ni un texte à l'étude. Pourtant, cette loi très controversée semble pouvoir soulever des objections sérieuses par rapport à l'esprit de la Constitution Française : défaut de sincérité de la procédure déclarée d'urgence, mise en cause de l'indépendance de la fonction publique et des administrations, affaiblissement pour l'ensemble des citoyens des garanties réelles de respect des principes définis par les différentes déclarations et conventions sur les Droits de l'Homme... Si une telle absence de saisine du Conseil Constitutionnel par des députés et des sénateurs devait se confirmer, le surmené Nicolas Sarkozy pourra, à la veille d'un Conseil des Ministres et des vacances d'été, remercier encore une fois la « gauche parlementaire » pour sa gentillesse. Ou s'agit-il, tout simplement, d'une réelle communauté d'intérêts ? Pourtant, il paraît évident que les conséquences de cette loi risquent d'être très lourdes, à commencer par les agents de la recherche publique (notamment, au Centre National de la Recherche Scientifique CNRS), des universités, de l'éducation, de la Santé et de l'ensemble des services publics stratégiques.

Pour autant que l'on ait pu se renseigner ce lundi, il n'y aura pas de saisine du Conseil Constitutionnel, par des parlementaires, contre la loi sur la « mobilité » des fonctionnaires. Pour quelle raison, et quelles en seront les conséquences ?


Quel avenir attend les agents du CNRS à la rentrée, pour ne citer que cet exemple, pendant que pour l'essentiel les organisations syndicales gardent le silence sur le nouvelle loi ?

Le contrat d'objectifs 2009-2013 qui entérine le démantèlement du CNRS est aussi un programme de dispersion et d'éviction de ses agents. La nouvelle loi sur les fonctionnaires permettra d'encadrer et d'accélérer cette opération de casse du service public, au bénéfice du secteur privé qui contrôlera très largement les structures auxquelles les agents du CNRS seront transférés.

Le même problème se pose, sous des formes diverses, dans un large éventail d'administrations, organismes, établissements publics... Mais qui tente de s'opposer à ce rouleau compresseur ?

Faute d'un éventuel recours de parlementaires auprès du Conseil Constitutionnel, la loi « relative à la mobilité et aux parcours professionnels dans la fonction publique » devrait être promulguée dans les prochains jours.

Or, le 27 juillet vers 15h et sauf méprise, les services du Conseil Constitutionnel déclarent n'avoir reçu aucune saisine concernant cette loi.

La même réponse nous est fournie par les différents services des groupes de la « gauche parlementaire ».


Il nous semble pourtant qu'une saisine du Conseil Constitutionnel était possible sur au moins trois questions essentielles :

- La sincérité de la déclaration d'urgence, altérant sans raison valable la procédure d'exament de la loi. D'autant plus que les parlementaires qui n'ont pas saisi le Conseil Constitutionnel reconnaissent malgré cette circonstance que les déclarations d'urgence revêtent un caractère systématique depuis des années.

- L'atteinte à l'indépendance et à la transparence de la fonction publique, des services publics et des administrations. Même dans les inteventions de la « gauche parlementaire », il est reconnu que loi sur la « mobilité » permet d'éliminer sans raison valable les fonctionnaires qui dérangent.

- L'atteinte aux garanties pratiques de respect des Droits de l'Homme et des libertés fondamentales. Car on voit mal comment les citoyens pourront vraiment bénéficier de ces droits et libertés, dès lors qu'il est porté atteinte à l'indépendance de l'Etat et des administrations qui en sont garants.

Comment comprendre l'absence d'une saisie de la Haute Juridiction constitutionnelle exprimant, au moins, ces moyens ?

Faut-il en conclure que, tout compte fait, les intérêts exprimés par les récents votes parlementaires ont un caractère « transversal » indépendamment des discours à l'adresse des militants et des électeurs ?

Ou le problème ne résiderait-il pas, tout simplement, dans un défaut collectif de garanties d'indépendance, de neutralité et d'impartialité de la part des parlementaires, par rapport à une question fondamentale (celle du statut des fonctionnaires) qui le concerne très directement en tant que « patrons » de la fonction publique ? Voir notre article 26 juillet.

Notre collectif compte confirmer incessamment sa demande déjà formulée auprès de la Présidence de la République et du Premier Ministre (notre deuxième article du 25 juillet) de non promulgation de la loi dite « relative à la mobilité et aux parcours professionnels dans la fonction publique ». Une telle démarche reste à la portée de tous.


Voir également nos articles :

Quelle réforme de la juridiction administrative française ? (I)

Quelle réforme de la juridiction administrative française ? (II)

Quelle réforme de la juridiction administrative française ? (III)

Pour une véritable réforme du Conseil d'Etat (I)

Pour une véritable réforme du Conseil d'Etat (II)

Quelle réforme de la juridiction administrative française ? (IV)

Fonction publique, CNRS, universités, services publics... vers la fin des acquis de la Libération ?

Sarkozy, G8, Bilderberg, "sortie de crise" rapide et casse sociale

CNRS : un contrat d'objectifs liquidateur (I)

CNRS et loi de licenciement massif des fonctionnaires

CNRS : un contrat d'objectifs liquidateur (II)

CNRS, loi sur les fonctionnaires et machine à licencier

CNRS, universités, fonctionnaires et liquidation des « classes moyennes »

Non à la loi sur la « mobilité » des fonctionnaires français ! (I)

Non à la loi sur la « mobilité » des fonctionnaires français ! (II)

Non à la loi sur la « mobilité » des fonctionnaires français ! (III)

Le CNRS, établissement public administratif (I)

CNRS : lettre aux personnels des laboratoires

CNRS, EPST, universités... bientôt des "furloughs" pour tous ?

Fonctionnaires : retirer le projet de loi

La loi sur les fonctionnaires, définitivement adoptée (I)

La loi sur les fonctionnaires, définitivement adoptée (II)

La loi sur les fonctionnaires, définitivement adoptée (III)

Ne pas promulguer la loi sur les fonctionnaires (I)

Parlement, fonctionnaires et apparence d'impartialité (I)


Indépendance des Chercheurs

http://www.geocities.com/indep_chercheurs

http://science21.blogs.courrierinternational.com

Groupes de discussion :

http://groups.yahoo.com/group/problemes_des_scientifiques

http://groups.yahoo.com/group/combatconnaissance



De : Indépendance des Chercheurs
lundi 27 juillet 2009

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24 juillet 2009 5 24 /07 /juillet /2009 17:08
http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/07/24/les-principales-mesures-du-projet-de-loi-sur-la-mobilite-des-fonctionnaires_1222261_3224.html



Les principales mesures
 du projet de loi
sur la mobilité
 des fonctionnaires




LEMONDE.FR avec AFP | 24.07.09 | 08h55




e Parlement a définitivement adopté, jeudi 23 juillet, par un ultime vote à l'Assemblée nationale, le projet de loi "mobilité et parcours professionnels dans la fonction publique". En voici les principales dispositions :
  • Droit au départ : Une administration ne pourra plus s'opposer au transfert d'un agent "vers un autre emploi, dans une autre administration ou dans le secteur privé", avec un préavis de trois mois.
  • Réorientation professionnelle : Un agent de l'Etat dont l'emploi est supprimé pourra bénéficier d'une réorientation professionnelle avec des "actions d'orientation, de formation, d'évaluation et de validation des acquis de l'expérience professionnelle".

Cette réorientation prend fin lorsque l'agent a retrouvé un emploi ou "à l'initiative de l'administration", si celui-ci a "refusé successivement trois propositions d'emploi" "fermes et précises" et correspondant à "son grade et à son projet personnalisé d'évolution professionnelle, et tenant compte de sa situation de famille et de son lieu de résidence habituel". Il est alors mis en disponibilité, sans salaire, ou admis à la retraite.

L'agent, militaire ou civil, "détaché" auprès d'une autre administration est intégré au bout de cinq ans. A l'expiration de son détachement, le fonctionnaire est, sauf intégration dans l'administration d'accueil, réintégré dans son corps d'origine. Les avantages de carrière (ancienneté, grade...) acquis au cours de son détachement sont pris en compte dans le corps d'accueil et d'origine s'ils sont "plus favorables".

  • Cumul de temps partiels : Un agent de l'Etat pourra cumuler plusieurs emplois à temps partiel relevant des trois fonctions publiques (Etat, territoriale, hospitalière), représentant au total un temps complet.
  • Contractuels : Les administrations de l'Etat pourront recruter des contractuels en cas d'absence "momentanée" d'un fonctionnaire ou de "vacance temporaire d'emploi".
  • Intérim : Les trois fonctions publiques pourront avoir recours à des agences d'intérim
  • pour des "remplacements", des "vacances d'emploi", un "accroissement temporaire d'activité" ou un "besoin occasionnel ou saisonnier".
  • Commission de déontologie : Possibilité d'autosaisine de la commission de déontologie de la fonction publique lors du départ d'un agent public vers le secteur privé. Saisine obligatoire pour les collaborateurs du président de la République et les membres du cabinet d'un ministre.
  • Age : Suppression de toute condition d'âge pour le recrutement par concours pour les fonctionnaires.
  • Cumul emploi public-privé : Passage de un à deux ans de la durée pendant laquelle le fonctionnaire qui crée ou reprend une entreprise peut cumuler son activité privée avec son emploi public. Possibilité d'exercer une activité privée lucrative pour les agents occupant un emploi à temps non complet représentant moins de 70 % de la durée légale du travail (au lieu de 50 % aujourd'hui)
  • Les auxiliaires de vie scolaire individuels (AVSI, qui aident les élèves handicapés) dont le contrat est arrivé à échéance pourront être employés par des associations qui seront remboursées par l'Etat.







Compte rendu intégral de la session extraordinaire

 à l' Assemblée nationale

le jeudi 23 juillet 2009

Cliquer sur la partie 3 du SOMMAIRE ÉLECTRONIQUE

http://www.assemblee-nationale.fr/13/cri/2008-2009-extra/20091032.asp#P344_89716




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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 19:53

  Jul/14/2009

21:57
Dépôt de gerbe pour le 14 juillet
Par SuperNo


Oh, certes, ce n'est pas très folichon comme illustration... Mais comment restituer plus fidèlement le sentiment de dégoût profond qui émane de ce 14 juillet en Sarkozye ? De cette "République" dont toutes les "valeurs" volent en éclat sous les coups de boutoir décomplexés de son président et de sa clique de malfaisants ?

D'abord la "justice", et son "indépendance", pilier de la "démocratie". Comment un lobby qui ne veut pas dire son nom peut-il parvenir à influencer le Président de la République, théoriquement garant des institutions, au point que la Garde des sceaux revienne de manière sidérante et scandaleuse sur les décisions d'un jury d'assises, pourtant exemplaires ? Pour dire à quel point nous en sommes, une partie de la presse reprend sans plus de précautions ces déclarations extraterrestres et sidérantes de bêtise de la mère de la victime, qui elle a certes l'excuse d'être aveuglée par la douleur : "la shoah recommence"...
SUITE...
http://www.superno.com/blog/2009/07/depot-de-gerbe-pour-le-14-juillet/

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 22:20
Très bien payés pour trahir leurs administrés  .


http://www.assemblee-nationale.fr/13/scrutins/jo0408.asp

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http://fr.news.yahoo.com/4/20090702/tts-france-fonctionnaires-assemblee-ca02f96.html



L'Assemblée assouplit les règles de la fonction publique

Mardi 7 juillet, 18h07

Reuters

Les députés ont adopté mardi le projet de loi sur la mobilité dans la fonction publique qui vise à faciliter le passage d'un corps ou d'une fonction publique à l'autre.


Les groupes UMP et Nouveau Centre ont voté pour. Les groupes socialiste, radical et citoyen (SRC) et de la gauche démocrate et républicaine (GDR, PC et Verts) ont voté contre.

Le texte a été adopté par 305 voix contre 169.

Une commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat sera prochainement convoquée pour mettre au point un texte qui sera soumis aux deux assemblées pour un vote définitif avant la fin de la session extraordinaire du Parlement, fin juillet.

Ce texte, que le Sénat avait adopté en avril, est vivement critiqué par l'opposition et par plusieurs organisations syndicales comme Force ouvrière et la CGT, qui parlent de "grave attaque au statut de fonctionnaire".

"C'est un texte idéologique, de régression sans précédent", a affirmé le socialiste Bernard Derosier. C'est "un mauvais coup, une attaque frontale contre le statut des fonctionnaires", a renchéri l'apparenté PC Marc Dolez (Parti de Gauche).

Mais pour Eric Woerth, ministre du Budget et de la Fonction publique, "il était temps que l'employeur qu'est l'Etat, que sont les collectivités locales et les établissements hospitaliers, puissent bénéficier d'un dispositif juridique pour encourager la mobilité et enrichir les parcours de leurs agents".

Le texte prévoit qu'un agent dont le poste est supprimé sera mis en disponibilité sans salaire ou à la retraite s'il refuse trois propositions de mutation.

Il autorise le recours à l'intérim. Les administrations, tant de la fonction publique d'Etat que territoriale, pourront solliciter les entreprises de travail temporaire.

Plusieurs amendements ont été retenus par la commission des Lois comme celui qui tire les conséquences de la nomination de François Pérol, secrétaire général adjoint de l'Elysée, à la présidence du groupe Caisses d'Epargne-Banques populaires.

L'amendement prévoit que la Commission de déontologie de la fonction publique puisse s'autosaisir lors des départs vers le privé de conseillers de l'Elysée ou de ministres.

Un autre amendement émanant du gouvernement l'autorise à modifier par voie d'ordonnance les règles relatives au fonctionnement de la justice administrative.

Un amendement gouvernemental, déposé en fin de débat et retenu, vise à maintenir la continuité dans l'accompagnement individuel des élèves handicapés afin de mettre fin au tollé provoqué le 30 juin par le non-renouvellement de 16.000 emplois de vie scolaire (EVS).

Emile Picy, édité par Gilles Trequesser

 

 

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http://bellaciao.org/fr/spip.php?article88704




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26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 09:54
Jun/25/2009

20:02

Honte sur la CGT ! 

Par SuperNo

 

"Dégueulasses ! Lâches ! Salopards ! Brutes ! Minables ! Pourris ! Vendus ! Fachos ! Fumiers ! Ordures ! Raclures ! Crevures ! Charognes ! Moules à gaufres ! Des femmes et des enfants, vous n'avez pas honte ?"

Pour qui ces qualificatifs délicats ? Pour Sarkozy et ses sbires ? Pas du tout, ce serait trop facile et trop commun...

Non, non, c'est pour la CGT... Enfin pour les quelques-uns qui ont pris la responsabilité de cette action lamentable et inqualifiable. Je refuse de croire qu'ils soient tous "comme ça".

SUITE...

http://www.superno.com/blog/2009/06/honte-sur-la-cgt/comment-page-1/#comment-9058
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